Trouble du déficit de l'attention
Le TDA/H ou trouble du déficit de l'attention / hyperactivité est un trouble neurologique caractérisé par des problèmes de concentration avec ou sans hyperactivité/ impulsivité.
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- Pour trouver de l'information fiable sur le trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité et sur les traitements appropriés pour les enfants, ... (source : passeportsante)
- ... Association française pour aider les familles, adultes et enfants concernés par le trouble du déficit de l'attention avec ou sans... (source : tdah-france)
- L'enfant et le tdah à l'école. Le traitement du tdah chez l'adulte.... Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH)... (source : attentiondeficit-info)
Trouble du déficit de l'attention Classification et ressources externes |
|
PET scan : transports de la dopamine dans le cerveau d'un patient atteint de TDA/H | |
CIM-10 | F90. |
CIM-9 | 314.00, 314.01 |
OMIM | 143465 |
DiseasesDB | 6158 |
MedlinePlus | 001551 |
eMedicine | med/3103 ped/177 |
MeSH | D001289 |
Le TDA/H ou trouble du déficit de l'attention/hyperactivité (en anglais Attention-deficit hyperactivity disorder, ADHD ou Attention-deficit disorder, ADD) est un trouble neurologique caractérisé par des problèmes de concentration (TDA) avec ou sans hyperactivité/impulsivité. Sa détection et les soins à apporter font l'objet de nombreuses controverses. Selon le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV), le TDA/H n'est pas un trouble du comportement au sens propre du terme, quoique les risques de développer un trouble d'opposition ou de la conduite soit plus élevé que la moyenne. L'enfant qui est au prise avec un TDA/H a des comportements qui nécessitent une plus grande cohérence et une plus grande constance de la part des adultes qui gravitent autour de lui. L'enfant ne développera pas pour tout autant un trouble de comportement.
Causes
Le TDA/H est d'ordre neurobiologique[1]. Le rôle de la génétique est reconnu actuellement comme important[2].
Aspects neurologiques
Cet état psychique se manifesterait, sur le plan neurologique, par un déficit de dopamine, un neurotransmetteur.
Transmission chimique du neurone A (émetteur) au neurone B (récepteur)
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Il appert cependant qu'une grande controverse subsiste à savoir si le TDAH est véritablement un trouble neurologique comme il est fréquemment prétendu. Quelques recherches visent d'ailleurs à mettre en relief l'incohérence de certaines études liant cette problématique à un trouble neurologique[3] [4]
Facteurs génétiques
Le TDA/H a un aspect héréditaire, impliquant surtout le rôle des transporteurs de dopamine. Les gènes affectés comprennent les récepteurs dopaminergiques D4, la dopamine beta-hydroxylase, la monoamine oxidase A, la catecholamine-methyl transferase, le transporteur de sérotonine (SLC6A4), le récepteur 5-hydroxytryptamine 2A (5-HT2A), le récepteur 5-hydroxytryptamine 1B (5-HT1B) [5], l'allèle 10-répétition du gène DAT1[6], l'allèle 7-répétition du gène DRD4[6], et le gène dopamine beta hydroxylase (DBH TaqI) [7].
Cependant, cette dimension héréditaire n'est en aucun cas un dysfonctionnement génétique : c'est un état neurologique naturellement présent, qui aurait même favorisé la survie de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs nomades[8]. Il aurait été progressivement éliminé de la population une fois celle-ci sédentarisée[9]. L'aspect génétique du TDA/H serait par conséquent un état originel de l'humanité et le non-TDAH le résultat d'une adaptation récente, évolution toujours moins courante parmi les populations (semi-) nomades (il en va de même pour l'intolérance au lactose, qui est un fonctionnement originel de l'organisme humain, tandis que la tolérance au lactose est une adaptation liée à l'élevage de bovins, surtout en Europe du Nord et en Afrique centrale).
Dans certaines populations nomades ou particulièrement récemment sédentarisées, surtout en Afrique et parmi les Amérindiens, l'allèle 7-répétition du gène DRD4 est bien plus commun et peut atteindre plus de la moitié de la population.
Facteurs alimentaires
- Certains métaux lourds, comme le plomb sont soupçonnés de contribuer à une hyperactivité ainsi qu'à un manque de concentration chez l'enfant [10] (voir article plus détaillé sur le Saturnisme ;
- certains colorants ou un conservateur (le benzoate de sodium), absorbés lors de l'alimentation sont aussi suspectés de causer ou aggraver ces troubles [10] ;
Les colorants sont particulièrement utilisés dans l'alimentation des enfants. Certains se sont montrés capables d'exacerber l'hyperactivité d'enfants chez qui avait déjà été diagnostiqué un TDA/H[11], [12], [13]. Ces études ont mis en évidence aussi le rôle envisageable du benzoate de sodium, utilisé comme conservateur, pourrait aussi être un facteur d'hyperactivité chez des enfants de la population générale. Les chercheurs doivent toujours vérifier s'il s'agit d'une synergie entre le benzoate de sodium et certains colorants, ou si c'est l'effet du seul benzoate de sodium[11] ; - les pesticides organophosphorés semblent aussi responsable de nombreux cas... Une étude [14] américaine s'est basée sur 1139 enfants des États-Unis, âgés de 8 à 15 ans, suivis dans le cadre d'une étude épidémiologique nationale (National Health and Nutrition Examination Survey) et dont 119 répondait aux critères de définition du syndrome). Elle a conclu que les enfants exposés à des concentrations importantes de pesticides organophosphorés via les fruits et légumes soufrent plus fréquemment de troubles de déficit de l'attention/hyperactivité (TDAH). Une relation dose-effet semble exister : les enfants ayant les taux urinaires les plus élevés du principal métabolite organophosphates (phosphates dialkylés et particulièrement le dimethyl alkylphosphate dit DMAP). Pour le métabolite le plus fréquemment trouvé (dimethyl thiophosphate), les enfants dont l'urine en contenait plus que la médiane des concentrations détectables présentaient deux fois plus de risque de souffrir de TDAH que ceux qui en présentaient des doses indétectables. Les auteurs rappellent qu'environ 40 molécules différentes d'organophosphates sont homologués par l'EPA [15] et qu'environ 33 000 tonnes de pesticides ont été répandues en 2001 aux dans ce pays.
Facteurs environnementaux
- l'exposition à certains toxiques (plomb surtout) peut induire des troubles de l'attention et de la mémoire à court terme.
- Plusieurs études [16] ont associé un risque accru de trouble de l'attention au temps passé devant la télévision ou des jeux vidéo, chez l'enfant, mais également chez l'adolescent ou alors chez le jeune adulte.
Épidémiologie et traitement
Épidémiologie
- Le diagnostic se fait fréquemment à l'âge scolaire tandis que les symptômes nuisent à l'adaptation et atteindrait alors 3 % à 5 % des enfants dans les pays occidentaux[17]. Il semblerait que le TDA/H soit plus courant en Amérique du nord qu'en Europe, et dans le Nord de l'Europe plutôt que dans le sud.
- En Occident, à peu près 1/5 des cas de TDA/H sont de type hyperactif-dominant (H), tandis que le trouble de l'attention (TDA) est dominant dans 4/5 des cas.
- Les symptômes diminuent avec le temps, mais il est estimé que 2/3 des adultes conservent cet état. [18]
- Ce syndrome atteindrait plus volontiers les filles (entre 3 et 9 fois plus) mais ces chiffres pourraient être biaisés du fait qu'une hyperactivité semble plus normale chez le garçon[19]. Il existe une très grande disparité des chiffres de prévalence de ce syndrome selon les pays ou l'époque étudiée, variant entre moins de 1 % (Hong-Kong) jusqu'à 25 % (États-Unis) [19]. L'explication de ces disparités n'est pas claire : critères d'évaluation différents, facteurs culturels ? Swanson souligne en 1989 que cette prévalence semble quelquefois être corrélée à la politique marketing du principal traitement (le méthylphénidate) [19].
Classification
L'une des premières descriptions du syndrome daterait de 1902[20]. La maladie s'est vu consacrée durant les années 1960, où elle apparaît dans les nomenclatures[19].
- La classification internationale des maladies (CIM-10) effectuée par l'Organisation mondiale de la santé définit les troubles hyperkinétiques (code F90) comme des «troubles caractérisés par un début précoce (généralement au cours des cinq premières années de la vie), un manque de persévérance dans les activités qui exigent une participation cognitive et une tendance à passer d'une activité à l'autre sans en finir aucune, associés à une activité globale désorganisée, incoordonnée et excessive.»
- États-Unis : selon le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV) rédigé par l'Association américaine de psychiatrie, le Trouble déficit de l'attention/hyperactivité (TDA/H) se définit par deux séries de manifestations : le déficit de l'attention d'un côté, et l'hyperactivité-impulsivité de l'autre.
- France : pour la classification française des troubles mentaux de l'enfant et de l'adolescent (CFTMEA), l'hyperkinésie avec troubles de l'attention (code 7.00), classée parmi les troubles des conduites et des comportements, est caractérisée «sur le versant psychique [par] des difficultés à fixer l'attention, un manque de constance dans les activités qui exigent une participation cognitive, une tendance à une activité désorganisée, incoordonnée et excessive, et un certain degré d'impulsivité ; - sur le plan moteur [par] une hyperactivité ou une agitation motrice incessante.»
Traitement
Le traitement médicamenteux du TDA/H repose le plus souvent sur des psychostimulants qui stimulent le système nerveux central. Le chlorhydrate de méthylphénidate (Ritaline® en France, Rilatine® en Belgique), qui figure d'autre part dans la liste des stupéfiants, fait partie des médicaments les plus employés dans cette indication, ce dernier existant sous forme à libération prolongée ou non. Il ne semble pas induire de dépendance chez le sujet traité, tant que des plages d'arrêt du traitement sont observées[21]. On a évoqué des cas de retards de croissance, mais des enquêtes récentes ont mis en évidence leur caractère idiopathique chez certains hyperactifs, sans relation avec le traitement[22].
Un autre type de traitement a été récemment mis au point : le strattera. Sa molécule est l'atomoxétine. C'est un inhibiteur spécifique de la recapture de la noradrénaline (non psychostimulant). Mais à l'heure actuelle, il n'est pas encore en vente en France. L'unique moyen de se le procurer, est de demander à son médecin qu'il fasse une demande d'ATU (autorisation temporaire d'utilisation).
En Europe, l'évaluation se fait par un pédopsychiatre ou un neuropédiatre en milieu hospitalier qui est seul habilité à délivrer du méthylphénidate. En Amérique du Nord, contrairement aux règles éthiques des psychologues européens, des psychologues et/ou des psychoéducateurs peuvent effectuer un travail d'évaluation, mais non de diagnostic. Cette dernière portion étant réservée à un médecin. En France, ce sont les neurologues qui peuvent poser le diagnostic du TDA, avec ou sans H.
Symptômes
- impulsivité
- hyperactivité
- impatience
- facilement irrité, frustré
- sautes d'humeur, en particulier lorsque dérangé lors d'une activité
- inattention, difficulté de se concentrer pour une période prolongée
- moments d'absence, rêveries
- difficulté à se mettre au travail
- problème de mémoire
- trop de choses en tête à la fois
- débute trop de choses à la fois sans les achever
- faible tolérance à l'ennui
- difficulté de suivre les procédures établies
- anti-conformisme
- changements habituels d'hobbys, de centre d'intérêts, de travail, etc.
- agitation, surexcitation
- cyclothymie
- manque d'organisation
- sentiment d'insécurité
- sentiment de manque de réalisation de soi
Le TDA/H est fréquemment associé à d'autres troubles et s'il est non traité, il peut amener de nombreuses complications psychologiques. Les troubles associés les plus habituels sont :
- des troubles d'oppositions dans 30 à 50 % des cas
- des troubles de conduite dans 25 % des cas
- des troubles anxieux dans 25 % des cas
- des troubles de motricité sont particulièrement fréquents
- le bégaiement persistant développemental
- des difficultés d'apprentissage assez importantes
- de la dyslexie, 50 % des dyslexiques ont aussi un TDA/H [23][24]
Ces caractéristiques ne sont , certes, en aucun cas spécifiques de la maladie et se retrouvent, à des degrés divers, chez des enfants ne répondant pas aux critères du TDA/H. A ce titre, un certain nombre de personnes nient la pertinence de la désignation de ces critères comme constitutifs d'un syndrome, voué à un traitement particulièrement médical[25]. Pour que le diagnostic de TDA/H puisse être clairement établi, il faut que soient respectés les critères définis par des classifications internationalement reconnues (telles les DSM-IV et CIM-10), que les principales manifestations du trouble (déficit d'attention, impulsivité, hyperactivité) forment une gène réelle pour le sujet, qu'elles soient présentes avant l'age de 7 ans, se manifestent dans deux environnements différents de façon permanente depuis au moins six mois, et entrainent des difficultés d'ordre scolaire, social et/ou professionnel.
En plus des critères diagnostics, il faut éliminer tout autre problèmes susceptibles de causer un trouble de l'attention, tels : de la négligence, des troubles familiaux, un trouble de vision ou d'audition, le petit mal épileptique, l'anémie... [26]
Enfants hyperactifs et surdoués
Il est quelquefois complexe de voir la différence entre les enfants surdoués et les enfants atteints du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité, car il est habituel que les enfants surdoués souffrent aussi d'hyperactivité[27]. Ceci pose en outre la question de l'adaptation pédagogique générale ou de la prévention éducative à travers cette difficulté d'évaluation des facteurs et des manifestations[28]. En effet dans les deux cas l'enfant :
- fait preuve de peu d'attention en classe, il s'ennuie
- a tendance à s'opposer à l'autorité du professeur
- souffre d'un manque d'estime de soi
- a peu d'amis
- met en doute les règles et règlements
- est peaufiniste
- a un développement inégal
- fait preuve d'une autocritique excessive
- a des tendances dépressives
- évite de prendre des risques
- a peur de l'échec
- est impatient avec les autres
- n'aime pas la routine
- pose bien plus de questions que la normale
- est excessif dans ses intérêts
- a un caractère fort
- résiste à la guidance
- remet en question les procédures d'apprentissage
- n'aime pas les zones non claires ou illogiques
- se préoccupe de sujets humanitaires
- construit des règles compliquées
- voudrait être le chef
- utilise le langage pour manipuler les autres
- est intolérant
- néglige ses devoirs
- peut être perçu comme dérangeant, à côté de la plaque
- peut être perçu comme têtu, borné
- est frustré par l'inactivité
- peut être perçu comme hyperactif
- peut sembler désorganisé et dispersé
- est frustré par le manque de temps
- possède quelquefois un drôle de sens de l'humour, les autres ne comprennent pas le sien et vice versa
- est indépendant
- préfère le travail individuel
- recherche à organiser les choses et les gens
- a un vocabulaire étendu
- possède des connaissances variées et étendues
- a de grandes aspirations pour lui et les autres
- est terriblement strict envers lui-même et les autres
- est créatif
- est inventif
- est intuitif
- fait preuve d'une hypersensibilité
- a énormément d'énergie et de vivacité
TDAH à l'âge adulte
Le TDAH de l'enfant persiste fréquemment à l'âge adulte. Les symptômes demeurent aussi le plus fréquemment et ne disparaissent que dans 30% des cas. On note aussi un chevauchement important avec les troubles addictifs, abus et dépendances de substances légales (alcool, tabac, somnifères-benzodiazépines) ou illégales (cocaïne, cannabis, héroïne et opiacés). Certaines études montrent que le risque d'abus ou de dépendance à des substances est 2 fois plus élevé[29] et que ce même risque concernant la combinaison de drogues et d'alcool est 4 fois plus élevé.
Controverses
- Reconnaissance du TDAH Adulte : le TDAH à l'âge adulte s'est vu consacré dans la majorité des pays depuis plusieurs décennies. Par exemple il figure dans les programmes de psychiatrie des universités américaines depuis les années 70. Néanmoins, il n'est toujours pas reconnu en France et son enseignement ne figure pas dans les programmes adressés aux futurs psychiatres. Des campagnes d'information à l'initiative d'associations ont cependant lieu ponctuellement pour sensibiliser la conscience du public et des professionnels, la plus significative étant la Semaine européenne sur les troubles de l'attention[30] de la fin septembre 2009 qui permit de lancer la première étude épidémiologique en France sur le secteur pilote de Nice[31][32].
- Traitement psychostimulant et TDAH : la nature comportementale des symptômes du TDAH, le fait qu'il affecte des enfants et la caractéristique de la principale molécule utilisée pour son traitement (un dérivé amphétaminique non addictif) font qu'il suscite régulièrement la polémique. Certains y voient surtout la manifestation d'une tentative de contrôle des masses avec une “pilule de l'obéissance”. Compte tenu de la banalisation des prescriptions en Amérique du Nord (États-Unis et Canada) dans les années 90, certains y voient aussi un risque de santé publique étant donné qu'il est rarement débattu des effets secondaires d'un traitement long terme sur les individus. Une étude portant sur douze enfants et publié en 2005 a ravivé ces inquiétudes en laissant penser à la possibilité d'effets cancérogènes[33]. Cette étude n'a pas pu être répliquée et les études postérieures n'ont pas confirmé ses inquiétudes[34], [35], [36], [37], [38].
- Cannabis médical et TDAH : une autre controverse concerne l'usage thérapeutique du cannabis pour le traitement du alcool, cocaïne, benzodiazépine... et le cannabis. Par contre, ce même cannabis est réputé pour ses propriétés sédatives. Ainsi, la dépénalisation de son usage thérapeutique dans un nombre grandissant de pays (Canada, 13 États des États-Unis, Pays-Bas, Espagne) a permis aux médecins de ces pays de prescrire, ou de recommander, du cannabis médical pour le traitement de certains cas de TDAH. Ainsi le débat est-il en cours dans la communauté scientifique spécialiste de ce domaine, surtout lors des congrès internationaux sur le TDAH. Certaines études cliniques ont permis d'évaluer l'effet du cannabis sur la conduite routière dans le cas précis du TDAH avec un effet "atypique" d'amélioration des performances[39].
Associations
- TDAH France : association française pour aider les familles, adultes et enfants concernés par le TDAH[40]
- TDAH Belgique : association belge qui aide, informe et soutient l'ensemble des personnes concernées par le TDA/H [41]
- ADHD Europe[42]
- Ressources TDAH au Québec ainsi qu'à l'international : [43]
- Ressources TDAH au Québec [44]
- AttentionDeficit-Info, [45]
- AQETA, Association québécoise des troubles d'apprentissage [46]
- PANDA, Parents aptes à négocier avec le déficit de l'attention [47]
- TDAH, association québécoise [48]
Notes et références
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- (en) http ://add. about. com/od/adhdthebasics/a/causes. htm
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- Food additives and hyperactive behaviour in 3-year-old and 8/9-year-old children in the community : A randomised, double-blinded, placebo-controlled trial Donna McCann, Angelina Barrett, Alison Cooper, Debbie Crumpler, Lindy Dalen, Kate Grimshaw, Elizabeth Kitchin, Kris Lok, Lucy Porteous, Emily Prince, Edmund Sonuga-Barke, John O Warner, Jim Stevenson, The Lancet, 07/09/2007, DOI :10.1016/S0140-6736 (07) 61306-3.
- Alison Schonwald, «ADHD and Food Additives Revisited», AAP Grand Rounds, DOI : 10.1542/gr. 19-2-17 2008;19;17 télécharger le pdf
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- Maryse F. Bouchard, David C. Bellinger, Robert O. Wright & Marc G. Weisskopf ; Attention-Deficit/Hyperactivity Disorder and Urinary Metabolites of Organophosphate Pesticides : Revue Pediatrics (online 17 Mai 2010) Vol. 125 No. 6 June 2010, pp. e1270-e1277 (doi :10.1542/peds. 2009-3058)
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- TDAH France
- TDAH Belgikque
- ADHD Europe
- Liste par Attention Déficit-Info
- Liste par le Regroupement des associations de parents PANDA du Québec
- AttentionDeficit-Info Site du Dr. Annick Vincent, médecin-psychiatre du Québec
- Association québécoise des troubles d'apprentissage
- Parents aptes à négocier avec le déficit de l'attention
- Comportement Site québécois sur le TDAH
Annexes
Bibliographie
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- Dr Xavier Schlögel, Anne-Geneviève de Longueville, Pascale De Coster, Le TDA/H à l'école, Plantyn, Bruxelles, 2006 (ISBN 978-2-8010-5450-5)
- Corraze, J. & Albaret, J. M., L'enfant agité et distrait, Expansion Scientifique Française, Paris, 1996 (ISBN 2-7046-1512-8)
- Dr Saiag, M. C., Dr Bioulac, S., & Pr Bouvard, M., Comment aider mon enfant hyperactif ?, Odile Jacob, Paris, 2007 (ISBN 978-2-7381-1969-8)
- Vantalon, V. (Ed. ) (2005), L'hyperactivité de l'enfant. Paris : John Libbey Eurotext.
- Wahl Gabriel, Madelin-Mitjavile Claude, Comprendre et prévenir les échecs scolaires, Editions Odile Jacob, 2007, Paris.
- sous la direction de Gérard Neyrand : Faut-il avoir peur de nos enfants ? Politiques sécuritaires et enfance. , Ed. : La découverte, Coll. : Sur le vif, 2006 (ISBN 9782707150097)
- Wahl Gabriel, L'Hyperactivité, Que sais-je ?, Presses Universitaires de France, 2009.
- Dr Annick Vincent, Mon cerveau a besoin de lunettes : vivre avec l'hyperactivité, livre pour l'enfant, Editions Academie Impact, 2004, Modèle :ISBN : 978-2-923520-35-3
- Dr Annick Vincent, Mon cerveau a ENCORE besoin de lunettes : le TDAH chez l'adulte, Editions Academie Impact, 4e édition 2007, Modèle :ISBN : 978-2-923520-36-0
- Thomas E. Brown, Attention Deficit Disorder. The unfocused Mind in children and adult, Yale University Press, New York, 2005.
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